Description
Traditionnellement, les mère kenyanes confectionnent un Kiondo pour le mariage de leur fille.
Mode de fabrication
De temps à autres, les tisserands se rendent dans les ‘gikombas’ (marchés de vêtements d’occasion) pour acheter des pulls en laine colorés qui sont ensuite rapportés à la maison, lavés et détricotés pour en faire des pelotes de laine séparées.
Une méthode de torsion est utilisée pour créer ces paniers africains: deux éléments de laine sont habilement liés autour d’un pôle central d’herbe de sisal local.
Les tisserands de ces coopératives sont particulièrement créatifs et expérimentés. Ils ont donc le libre choix de couleurs et de motifs. Il n’y a pas deux paniers identiques, chacun étant conçu de manière unique.
Chaque panier représente jusqu’à 4 jours de tissage. Le tissage est souvent effectué autour du travail à la ferme, des tâches ménagères, des activités sociales et de la garde des enfants.
Soutenir une cause
Acheter un Kiondo, c’est soutenir la renaissance d’un tissage traditionnel et, ce faisant, vous nous aidez à soutenir les tisserands dans un commerce véritablement équitable. La vannerie est devenue une source durable de revenus supplémentaires pour les tisserands, dont les principaux revenus proviennent de l’agriculture – une ligne de travail de plus en plus vulnérable à la sécheresse.
Avis
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